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Calliope d’Après Eustache Le Sueur, Huile Sur Toile Ovale XIX ème, Muse De La Poésie épique

Superbe tableau peint à l’huile sur toile d’après l’original d’Eustache Le Sueur (1616-1655) intitulé Calliope et conservé au Louvre, et qui avait été peint au milieu du XVII ème siècle pour l’Hôtel Lambert.
Notre œuvre date du début du XIX ème siècle, il s’agit d’une copie d’après l’original d’une très grande qualité avec quelques petites variantes par rapport à l’œuvre de Le Sueur. Par exemple, les feuilles des arbres sont moins fouillées, il y a plus de cordes à la harpe, les mains sont différentes ainsi que le format qui est plus petit.
Ce tableau représente Calliope, la Muse de la poésie épique.
Huile sur toile totalement d’origine (aucun repeint à la lampe de Wood) sur toile très fine tendue dans un superbe cadre ovale à clés.
Quelques très légers décollement de la couche picturale, tâches de mouches et vernis jauni.
Nous vous présentons ce tableau dans son bel état de trouvaille.
Il s’agit d’une pièce rare sur le marché.
Vendu nu sans cadre.
Epoque tout début XIX ème siècle.
Livraison par transporteur entre deux plaques de bois, 50 euros en France, 100 euros en UE et 200 euros reste du monde.

Largeur: 65.5 cm
Hauteur: 80.5 cm

D’après Le Louvre:
Eustache Le Sueur a peint un ensemble de décors pour l’hôtel que Jean-Baptiste Lambert de Thorigny avait fait édifier sur l’île Saint-Louis à Paris par Louis Le Vau entre 1641 et 1644. Le Sueur obtint ses premières commandes de la part de Jean-Baptiste Lambert (voir INV. 8062). Puis, après que l’hôtel eut passé par héritage au frère de Jean-Baptiste, Nicolas Lambert de Thorigny, Le Sueur exécuta ses décors les plus importants : les peintures du cabinet de l’Amour (vers 1645-1647) et du cabinet des Muses (entre 1652 et 1655). Les tableaux de Le Sueur décorant le cabinet de l’Amour et le cabinet des Muses ont été gravés d’après les dessins de Bernard Picart pour un recueil édité par Gaspard Duchange en 1740. Deux de ces gravures, exécutées par Bernard Picart, permettent de se faire une idée de ce qu’était la disposition des tableaux dans les lambris et les plafonds : vue du cabinet de l’Amour (cf. Paris, 1972, no 11, et reconstitution du décor p. 54-59), vue du cabinet des Muses (cf.Gady (B.), 2014, no 75). Les tableaux de Le Sueur sont demeurés dans les décors de l’hôtel jusqu’en 1776, lorsque les héritiers du propriétaire d’alors, le fermier général Marin de La Haye, décidèrent de les vendre. À l’instigation du comte d’Angiviller, contrôleur général des Bâtiments du Roi, les tableaux furent acquis pour Louis XVI pour 50 000 livres (A.N., O1 1913) et détachés des lambris et des plafonds par le restaurateur Jean-Louis Hacquin en 1777 (cf. Guiffrey (J. J.), 1877, p. 321). Jean-Louis Hacquin et Jean-Marie Hooghstoël effectuèrent les restaurations des tableaux, respectivement en support et en couche picturale, entre 1777 et 1785 (A.N., O1 1922A).

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